P’tit Belliveau, c’est le projet temps plein de l’expérimentaliste pop et prime alien acadien Jonah Guimond, qui est déjà fort de deux albums célébrés, Greatest Hits Vol.1 et Un homme et son piano, desquels sont issus des hymnes générationnels tels que « Income Tax », « Les bateaux dans la baie », « J’aimerais d’avoir un John Deere » et « Demain ». C’est déjà pas pire, pis un troisième, homonyme, paraît le 26 avril 2024, mais y en a encore beaucoup plus d’où est-ce que ça vient.
À l’issue de ses 3 premiers EPs, on le trouve sympathique. À la sortie de son album Greatest Hits Vol.1 en 2020, on perçoit le potentiel (sacré Révélation de l’année au GAMIQ et lauréat du Félix dans la catégorie Réalisation de disque de l’année au Gala de l’ADISQ) Finalement, au deuxième album Un homme et son piano, on saisit l’ampleur du phénomène (4 Club Soda affichant complet). Avec le troisième, on s’enligne sur l’oracle du « [...] gros poster [au] Centre Bell sold-out [...] ».
